Le marché automobile belge est un champ de bataille, et en 2025, c’est une lutte acharnée. Avec un marché en recul de 10,93 % cette année, on pourrait croire que tout le monde panique. Mais pas BMW. Non, ces brutes bavaroises continuent d’écraser la concurrence comme une division de Panzers, avec une avance qui ferait pâlir d’envie n’importe quel général. Allumons le moteur et plongeons dans le pourquoi et le comment de la domination imparable de BMW en Belgique, avec une touche de panache et une sacrée dose de chevaux-vapeur.
En juin 2025, les ventes de voitures en Belgique étaient une triste affaire : seulement 41 527 nouvelles voitures particulières immatriculées, soit une chute de 16,38 % par rapport à l’an dernier. Le premier semestre ? Une baisse de 10,93 %, avec à peine 234 616 véhicules enregistrés. Mais BMW ? Ils se moquent de ce marasme. Avec 26 215 immatriculations, ils trônent fièrement en tête, laissant Volkswagen (22 293), Mercedes (16 989), Audi (16 126) et Dacia (15 509) dans leur rétroviseur. Qu’est-ce qui rend BMW si invincible ? Simple : ils jouent mieux que les autres.
Le secret réside dans leur stratégie, plus affûtée qu’un tournevis fraîchement aiguisé. La Belgique raffole des voitures haut de gamme, et BMW livre exactement cela : une gamme qui couvre tout, des moteurs à combustion rugissants à faible émission de CO2 aux bolides électriques qui font trembler le marché des flottes. Les voitures de société règnent ici, représentant 60 % des ventes, et BMW l’a parfaitement compris. Leurs modèles électriques font mouche, avec une hausse des ventes de 62 % en septembre. Tenez-vous bien : les trois quarts des ventes de BMW en Belgique sont désormais électriques. Laissez ça pénétrer : les trois quarts ! Ce n’est pas une tendance, c’est un raz-de-marée.
Et puis, il y a la politique de prix. Alors que d’autres marques jouent au ping-pong avec les remises, BMW maintient des tarifs stables, surtout pour ses modèles électriques. Pas de fluctuations folles, pas de maux de tête pour l’acheteur. Ajoutez à cela un modèle d’agence – où BMW vend directement au client, sans tracas avec les concessionnaires – et vous obtenez une recette gagnante. Même les concessionnaires semblent satisfaits, ce qui, chez d’autres marques comme Stellantis, ressemble à un conte de fées. La gamme de BMW s’aligne parfaitement sur l’amour belge pour le luxe, et leur focus sur l’électrique est un coup de maître dans un pays où les avantages fiscaux et les primes pour les véhicules électriques dictent le marché.
Mais soyons honnêtes : tout le monde ne partage pas la fête. Volkswagen, bien que deuxième, perd du terrain. Audi et Mercedes ? Ils prennent des coups, avec des parts de marché qui rétrécissent comme un pull bon marché au lavage. Tesla ? Un désastre, avec une chute de 55,53 %. Kia, Citroën, Hyundai et Nissan s’enfoncent aussi, tandis que la gloire hybride de Toyota s’estompe avec une baisse de 21,86 %. De l’autre côté, Renault (+16 %) et Peugeot (+31,91 %) brillent, et Mini vole la vedette avec une croissance absurde de 88,89 %. Mais personne n’arrive à la cheville de BMW.
Même dans le monde des bolides exclusifs, l’influence de BMW reste palpable. Alors que Ferrari a immatriculé 112 voitures (six de plus que la moribonde Lancia), et que Lotus, Bentley et Lamborghini se battent pour les miettes, c’est la BMW X1 qui remporte la couronne comme voiture la plus populaire en Flandre et à Bruxelles. En Wallonie, la Sandero de Dacia peut bien mener, mais l’emprise de BMW sur le marché est indéniable. Leur architecture Neue Klasse promet encore plus de spectacle, avec un style minimaliste qui étire la calandre iconique à des proportions épiques. Et cerise sur le gâteau : le prototype Vision Driving Experience, avec 1 700 ch et 18 000 Nm, est une promesse folle de ce qui nous attend.
Pourtant, tout n’est pas rose. Le marché belge se contracte à cause de l’incertitude sur l’avenir fiscal des hybrides rechargeables, ce qui pousse les entreprises à reporter leurs achats. Mais BMW reste imperturbable. Avec 60 000 voitures vendues prévues en 2025, et un leadership sur le marché qui tient bon depuis 2021, rien ne semble pouvoir les arrêter. Pas même l’essor des marques chinoises comme BYD, qui impressionne avec une croissance de 347,30 %, ou MG, qui reste le plus grand acteur chinois. Mais soyons réalistes : en Belgique, BMW est le patron, et ça ne risque pas de changer de sitôt.
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