Cupra Raval électrique : le rebelle espagnol qui conquiert la ville

Cupra Raval électrique : le rebelle espagnol qui conquiert la ville

15 septembre 2025

Quelque chose bouillonne dans les rues de Barcelone, et ce n’est pas de la sangria. La Cupra Raval, une compacte électrique, est prête à envahir le monde en 2026, et j’ai comme l’impression que ce petit Espagnol a plus de caractère qu’un taureau dans un magasin de porcelaine. Ce n’est pas une banale voiture de ville ; c’est une auto qui semble voler votre portefeuille avant de s’enfuir dans un nuage d’étincelles électriques.

Commençons par le look. La Raval, c’est du feu d’artifice visuel, une voiture qui semble avoir été dessinée par un artiste branché ayant abusé de l’espresso. Avec ses lignes acérées, ses phares triangulaires et un pare-chocs arrière doté d’un diffuseur digne d’une voiture de course, elle hurle « regardez-moi ! ». Le camouflage qu’elle arbore encore ressemble à une œuvre de street art inspirée du quartier hip d’El Raval à Barcelone. Subtil ? Pas du tout. Mais qui veut de la subtilité quand on peut ressembler à un graffiti roulant ?

Sous cette carrosserie audacieuse se cache un moteur électrique qui ne rigole pas. La version haut de gamme, la VZ, développe 226 chevaux et atteint les 100 km/h en 6,9 secondes. C’est plus rapide que bien des hot hatchs d’antan, et ce dans une voiture qui mesure à peine 4,05 mètres de long. Pour les économes, il y a un modèle d’entrée de gamme avec une batterie de 38 kWh, offrant une autonomie d’un peu plus de 300 kilomètres. Envie de plus ? La version plus puissante embarque une batterie de 56 kWh et peut parcourir jusqu’à 440 kilomètres. Avec une charge rapide à 125 kW, vous êtes prêt à repartir en une demi-heure pour semer la pagaille en ville. Et il paraîtrait qu’une variante style GTI avec 300 chevaux est dans les tuyaux. Trois cents ! Dans une voiture plus petite que mon placard à chaussures !

La Raval repose sur la plateforme MEB Entry du groupe Volkswagen, la même que ses cousins, la Volkswagen ID.2 et la Skoda Epiq. Mais là où ces deux-là sont sages et pratiques, la Raval a une attitude qui dit : « Je fais ce que je veux. » Avec sa traction avant et son réglage sportif, elle promet un comportement routier qu’on n’attend pas d’une citadine électrique. Imaginez un kart avec la clim et un coffre décent. En parlant d’espace : malgré sa taille compacte, la Raval promet assez de place pour vos amis branchés et leurs gobelets de café surdimensionnés. Les poignées de porte sont escamotables, les jantes sont énormes, et la calandre – ou plutôt ce qui serait une calandre si ce n’était pas une électrique – est intégrée au pare-chocs pour plus de refroidissement et encore plus d’audace.

Soyons clairs : ce n’est pas une voiture pour ceux qui aiment le beige et l’ennui. C’est une voiture pour ceux qui voient la vie comme une fête et montent toujours le volume. Elle sera produite à Martorell, en Espagne, aux côtés de son cousin Volkswagen, et le prix ? Il démarre autour de 25 000 euros pour le modèle de base. Ce n’est pas donné, mais pas exagéré non plus pour quelque chose qui rendra vos voisins jaloux et vous fera oublier les stations-service pour de bon.

Petit bémol : il faudra attendre 2026 pour voir la Raval débouler dans les concessions. D’ici là, on devra se contenter de photos espionnes et de prototypes qui s’amusent sur le Nürburgring, comme s’ils voulaient déjà prouver leur âme de voiture de course. Mais quand on voit ce que Cupra a fait avec la Born et la Tavascan, on sait que ces gars-là savent rendre une électrique excitante. Ce n’est pas une EV ennuyeuse pour les écolos ; c’est une voiture qui dit : « Allez, le monde, viens me chercher ! »

Alors, si vous cherchez une voiture électrique qui ne se contente pas de flatter votre conscience écologique mais titille aussi votre pied droit, gardez un œil sur la Cupra Raval. Et en attendant, jetez un coup d’œil à notre marketplace, où vous pouvez chercher et acheter des voitures 100 % électriques. Rendez-vous sur https://volty.be/nl/buy/cars/overview/.