Bentley. Rien que le nom fait surgir des routes de campagne luisantes, une bouffée de cuir vieilli et le grondement inimitable d’un V8 qui rebondit sur des murs de pierre centenaires. Pendant plus d’un siècle, cette icône britannique a été l’équivalent automobile d’un costume sur mesure : élégant, puissant et délicieusement excessif. Mais voilà, le costume passe au courant. Pas un clin d’œil timide aux écolos, mais un plongeon total dans la batterie qui va redéfinir le luxe quand le monde décrète le silence.
Le premier Bentley 100 % électrique sortira de l’usine fin 2026 et posera ses roues en concession début 2027. Nom de code : Luxury Urban SUV. Moins de cinq mètres, un poil plus compact que le mastodonte Bentayga, mais toujours cette grâce de grand tourisme. On murmure un patronyme Barnato, hommage aux heures de gloire en course, peu importe : cette bête glissera sans bruit devant la concurrence.
Qu’est-ce qui la rend unique ? Le châssis repose sur la plateforme Premium Platform Electric (PPE) du Groupe Volkswagen, la même ossature que les fusées Audi et Porsche. Deux moteurs, architecture 800 volts, recharge éclair : sept minutes pour récupérer 160 km. Plus rapide qu’un espresso refroidi. Autonomie WLTP espérée : 700 km. Vitesse de pointe : plus de 300 km/h. 0-100 km/h : moins de 2,5 s. C’est l’expérience Bentley en mode chuchotement : un coup de reins soyeux qui vous plaque au siège sans que personne n’entende rien.
À l’intérieur ? Cuir piqué main, placages noyer dignes d’une galerie d’art, écrans qui font rougir votre smartphone. Le vrai luxe, c’est le silence. Plus de symphonie à cylindres pour noyer Beethoven ; juste le léger bourdonnement des passagers comblés. À Crewe, berceau de Bentley, l’usine se refait une beauté à coups de millions pour accoucher de ces monstres muets. Emplois préservés, patrimoine intact, regard tourné vers demain.
Pourtant, Bentley ne jette pas le moteur thermique aux orties. Le plan initial Beyond100 – tout électrique en 2030 – a été recalibré. Les hybrides rechargeables restent au menu jusqu’en 2035 au moins. Astucieux : il y a encore des capitaines d’industrie qui veulent entendre un V8 ronronner avec leur café du matin. Les PHEV feront le pont : électricité en ville, essence sur autoroute. Pas de compromis, juste du choix.
Cette stratégie bicéphale n’est pas de la frilosité, c’est du Bentley pur jus : écouter des clients qui exigent luxe et liberté. Mais soyons clairs : l’électrique est la tête d’affiche. Luxe sans pot d’échappement, puissance sans culpabilité. Imaginez filer sur une lande brumeuse, le couple instantané vous propulsant d’un seul élan de velours. Zéro stress d’autonomie (700 km, c’est du sérieux) et zéro bruit : juste vous, la route et un sourire.
Pendant que Lucid jongle avec les chiffres et Tesla peaufine ses menus, Bentley sert l’immesurable : savoir-faire, exclusivité, classe. L’électrique avec des manières. Et tandis que le reste du monde se bat avec les batteries et les bornes, Bentley mise sur la sécurité : hybrides en filet, EV en fer de lance.
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