Ferrari. Un nom qui évoque des V12 rugissants et une adrénaline pure sur quatre roues. Mais les temps changent, et même les étalons de Maranello passent à l’électricité. Voici l’Elettrica, la première voiture entièrement électrique de Ferrari – une bête qui prouve que conduire électrique n’a rien d’ennuyeux, mais ouvre au contraire une nouvelle dimension à ce qu’une voiture de sport peut offrir. Ce n’est pas une souris silencieuse drapée de rouge ; c’est une machine qui embrasse l’avenir sans renier l’ADN de Ferrari. Plongeons dans ce que nous savons de cette merveille électrique, qui conquerra le monde en 2026.
Commençons par le design : oubliez les biplaces classiques. L’Elettrica est une quatre places à quatre portes, pensée pour plus que des escapades en solo. Des porte-à-faux courts, une position de conduite proche de l’essieu avant et assez d’espace à l’arrière pour que les passagers ne soient pas recroquevillés. C’est probablement un crossover élégant, mais avec la grâce qu’on attend de Ferrari – pas un SUV pataud, mais quelque chose de bas et d’agile. La batterie est astucieusement intégrée au châssis, abaissant le centre de gravité de 8 centimètres par rapport à un modèle essence comparable. Résultat ? Un poids d’environ 2300 kilos, mais une sensation de légèreté grâce à une suspension intelligente et une répartition du poids avec plus de la moitié sur l’essieu arrière. Et cerise sur le gâteau : le châssis est composé à 75 % d’aluminium recyclé, ce qui réduit les émissions de CO2 par voiture. Conduite électrique avec une touche écoresponsable, sans sacrifier le style.
Passons au cœur de l’affaire : les performances. Quatre moteurs électriques, deux par essieu, délivrent ensemble plus de 1000 ch en mode Boost – pensez à 282 ch à l’avant et 831 ch à l’arrière, avec des chiffres de couple à faire fondre les pneus (2582 lb ft à l’avant, 5900 lb ft à l’arrière). Zéro à cent en 2,5 secondes ? C’est fait. Vitesse de pointe de 310 km/h ? Évidemment. C’est une transmission intégrale avec vectorisation du couple pour chaque roue individuellement, plus une direction à quatre roues pour des virages d’une précision chirurgicale. Mais voici le plus amusant : un système de « déconnexion » désactive l’essieu avant pour passer en propulsion sur autoroute, boostant l’efficacité tout en conservant cette sensation de drift classique. Les modes de conduite – Range, Tour et Performance – ajustent tout, de la consommation d’énergie à la traction. Et ces palettes au volant ? Elles simulent une boîte manuelle avec cinq niveaux de couple et de puissance – tirez dessus et l’accélération arrive par vagues, comme avec une boîte à l’ancienne. Au freinage, elles jouent le même jeu avec le freinage régénératif, pour un effet de frein moteur. C’est électrique, mais avec l’âme d’une voiture de course.
Parlons batterie et autonomie : une bête de 122 kWh de capacité brute, avec une densité record de 195 Wh par kilo. Cela signifie plus de 530 km d’autonomie sur une charge, parfait pour les longs trajets sans stress. L’architecture 800 volts permet une charge rapide jusqu’à 350 kW, soit 70 kWh en seulement 15 minutes. Et elle est modulaire, ce qui rend le remplacement des modules aussi simple qu’un jeu d’enfant, prolongeant la durée de vie comme pour les Ferrari classiques. Pas de voiture jetable ici ; c’est conçu pour durer.
Ce qui rend l’Elettrica vraiment Ferrari, c’est le son. Pas de rugissement artificiel sorti de haut-parleurs, mais un grondement authentique, amplifié, basé sur les vibrations des moteurs, captées par un accéléromètre et diffusées dans l’habitacle comme une guitare électrique. Cela filtre les bruits indésirables et offre une expérience de conduite palpitante – silencieuse à l’extérieur, exaltante à l’intérieur. La suspension, de troisième génération et active sur 48 volts, gère chaque roue indépendamment pour un confort et une adhérence optimaux. Des routes verglacées aux cols sinueux, elle s’adapte sans compromis.
L’Elettrica marque un nouveau chapitre pour Ferrari, qui expérimente les hybrides depuis 2009. C’est l’aboutissement des technologies issues de la F1 et de modèles comme la LaFerrari et la SF90. La production est presque prête, avec un aperçu de l’intérieur début 2026 et une grande révélation au printemps. Les livraisons débuteront fin 2026. Le prix ? Encore un mystère, mais attendez-vous à de l’exclusivité – c’est Ferrari, après tout.
Dans un monde où les voitures électriques deviennent la norme, l’Elettrica montre qu’elles peuvent être non seulement efficaces, mais aussi exaltantes. C’est le pont parfait entre tradition et innovation, et une preuve que l’électrique est l’avenir : plus rapide, plus intelligent et, oui, même plus fun.
Pour ceux qui ont déjà envie de plonger dans l’aventure électrique : rendez-vous sur notre marketplace où vous pouvez chercher et acheter des voitures 100 % électriques. Découvrez l’offre ici : https://volty.be/nl/buy/cars/overview/.