Puissance divine et boîte manuelle : La Garagisti & Co GP1 est là pour vider votre portefeuille

Puissance divine et boîte manuelle : La Garagisti & Co GP1 est là pour vider votre portefeuille

15 août 2025

Il fut un temps où les supercars étaient de vraies supercars. Pas d’hybrides absurdes, pas de voitures électriques silencieuses, mais des moteurs rugissants qui faisaient vibrer vos tympans et un levier de vitesse qui musclait vos biceps. De nos jours, Ferrari et Lamborghini semblent avoir vendu leur âme aux turbos et aux boîtes automatiques. Mais n’ayez crainte, amateurs de sensations fortes, car une nouvelle bête britannique est arrivée pour montrer à la vieille garde comment on fait : la Garagisti & Co GP1. Ce n’est pas une voiture, c’est un monstre mécanique qui ruine votre compte en banque tout en étirant votre sourire jusqu’à ce que vos mâchoires crient grâce.

Commençons par le cœur de cette machine : un V12 de 6,6 litres, sans turbo, sans gadgets électriques, juste une gloire pure et atmosphérique. Ce moteur, développé avec les Italiens d’Italtecnica, délivre 800 chevaux et 700 Nm de couple à un régime insensé de 9 000 tours par minute. Neuf mille ! Ce n’est pas un moteur, c’est un orchestre symphonique jouant du Wagner en plein incendie. Et le meilleur ? Toute cette puissance est transmise aux roues arrière via une boîte manuelle à six rapports, à l’ancienne. Oui, vous avez bien lu : une boîte manuelle. En 2025. Dans une supercar. C’est comme si Garagisti & Co faisait un bras d’honneur au monde automobile moderne en criant : « Voilà comment on fait ! »

Le châssis est une œuvre d’art en soi. Fabriqué en fibre de carbone, cette GP1 ne pèse que 1 000 kilos. C’est plus léger que la moyenne des compactes, mais avec la puissance d’une fusée. Résultat ? Une voiture non seulement incroyablement rapide, mais qui semble être une extension de votre âme. Pas d’ailerons, pas de diffuseurs exagérés, et pourtant elle génère 850 kilos d’appui aérodynamique. C’est de l’ingénierie pure, pas de l’esbroufe. Et parlons du design : épuré, minimaliste, mais avec une agressivité qui évoque un requin ayant avalé un espresso. Le designer, qui a travaillé chez Rimac et Bugatti, savait clairement que la beauté réside dans la simplicité.

Mais soyons honnêtes : ce n’est pas une voiture pour le commun des mortels. Avec un prix de 2,45 millions de livres – soit environ 2,8 millions d’euros – ce jouet est réservé à l’élite qui trouve une Ferrari trop banale et une Lamborghini trop bon marché. Garagisti & Co ne construit que 25 exemplaires, donc il faut non seulement être riche, mais aussi rapide. Et probablement un peu fou. Parce que qui dépense presque trois millions pour une voiture sans régulateur de vitesse, sans écran d’infodivertissement, sans toutes ces bêtises qui rendent les supercars modernes si fades ? Réponse : quelqu’un qui sait ce que conduire signifie vraiment.

Ce n’est pas une voiture pour aller faire ses courses au supermarché. C’est une voiture pour ceux qui rêvent la nuit de routes de montagne sinueuses et du hurlement d’un V12 qui fait taire la nature elle-même. Garagisti & Co a un nom qui sonne italien, mais ces gars-là sont aussi britanniques qu’un jour de pluie à Londres. Et pourtant, ils ont construit une voiture qui ferait probablement hocher la tête d’approbation à Enzo Ferrari lui-même. Ou peut-être serait-il jaloux. Qui sait ?

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