La Kia K4 déferle sur l’europe : plus grande, plus audacieuse et prête à voler la vedette

La Kia K4 déferle sur l’europe : plus grande, plus audacieuse et prête à voler la vedette

21 septembre 2025

Le segment des compactes. Un champ de bataille où des boîtes fades se disputent votre portefeuille, la plupart semblant préférer l’invisibilité à l’inspiration. Voici la Kia K4, la successeure effrontée de la Ceed, fraîchement peaufinée pour les routes européennes. Fini le second rôle dans la catégorie C ; celle-ci a gagné en panache et s’étire sur 4,44 mètres de long – 10 centimètres de plus que sa prédécesseure, flirtant avec la classe D. Si la Ceed était la familiale fiable qui ne faisait pas tourner les têtes, la K4 est celle qui vous fait un clin d’œil depuis l’autre bout du parking.

Commençons par le look, parce qu’il n’y a pas de raison de garder le meilleur pour la fin. Kia a appliqué ici sa philosophie de design Opposites United, le même flair futuriste qui donne à ses électriques l’allure de rescapées d’une vente aux enchères de science-fiction. À l’avant, les phares Star Map Signature tranchent la nuit comme un show laser dans une boîte de nuit douteuse, tandis que l’arrière bénéficie du même traitement pour un éclat harmonieux. La ligne de toit ? Elle flotte comme si elle défiait la gravité, s’écoulant élégamment vers un hayon qui hurle : « Charge-moi, je suis polyvalent. » Et ces montants C dissimulent les poignées des portes arrière – astucieux, presque sournois, comme un tour de magie pour garder des lignes épurées. Optez pour la finition GT-Line, et ça devient carrément audacieux : coques de rétroviseurs noir brillant, bas de caisse qui épousent les flancs comme une combinaison de course, et des jantes allant jusqu’à 18 pouces qui clament : « Je ne me contente pas de rouler, je domine. » Il y a même une peinture Jaune Étincelant qui rendrait un citron terne. Dans un monde de compactes grises, cette voiture est une explosion de personnalité.

À l’intérieur, on dirait que Kia a décidé de fourrer un tableau de bord tout droit sorti du futur dans une voiture qui prétend encore être raisonnable. Un ensemble panoramique d’écrans domine : 12,3 pouces pour les instruments, encore 12,3 pouces pour l’infodivertissement, et un petit 5,3 pouces rien que pour la climatisation. Tout est relié par le système Connected Car Navigation Cockpit, qui jongle avec les cartes, la musique et les réglages comme un chef d’orchestre désœuvré. Android Auto et Apple CarPlay sans fil ? Évidemment. Lancez un « Hey Kia » pour des commandes vocales qui écoutent vraiment, ou utilisez votre téléphone comme une clé numérique 2.0 – parce qu’à quoi sert une clé physique quand on a la magie du Bluetooth ? Ajoutez Kia Connect pour des fonctionnalités à distance, un chargeur sans fil qui ne transforme pas votre poche en fournaise, et un système Harman Kardon capable d’étouffer un concert de rock. Les sièges ? Chauffants et ventilés à l’avant, parce que rien ne dit le luxe comme ne pas transpirer à travers sa chemise en plein été. C’est bourré de technologie sans donner l’impression d’un cockpit de vaisseau spatial conçu par un comité de comptables.

Sous le capot, Kia n’a pas encore totalement embrassé la croisade écolo – Dieu merci, parce que parfois, on veut juste entendre un moteur rugir. On commence avec un trois cylindres turbo 1.0 litre de 115 ch, couplé à une boîte manuelle six vitesses pour ce plaisir à l’ancienne. Envie d’un peu d’aide hybride ? C’est disponible en mild-hybrid avec une boîte auto à double embrayage à sept rapports, économe sans sacrifier le fun. Passez au quatre cylindres turbo 1.6 litre, et vous avez 150 ou 180 ch, toujours avec l’automatique pour une conduite fluide. Les performances sont assez vives pour slalomer dans la circulation, et la tenue de route ? Attendez-vous à cette précision Kia qui est devenue leur arme secrète – accrocheuse, composée, avec juste ce qu’il faut de ludisme pour rappeler que c’est une voiture pour conducteurs, pas une séance de thérapie sur roues. En 2026, ils ajouteront d’autres atouts, dont une version full hybride pour les écolos convaincus. La sécurité est aussi au rendez-vous, avec une liste interminable d’aides à la conduite qui surveillent vos angles morts, freinent pour les étourdis et vous maintiennent dans votre voie sans râler comme un passager arrière.

Côté espace, cette bête frappe au-dessus de sa catégorie. L’espace pour les jambes à l’arrière atteint 964 millimètres, la hauteur sous plafond 973 – c’est digne d’une limousine pour les passagers arrière, d’habitude entassés comme des sardines. Le coffre ? 438 litres minimum, extensible si vous rabattez les sièges. Le genre de praticité qui vous permet de transporter vélos, sacs ou cet achat impulsif de meuble en kit sans un seul juron.

Le prix ? Chut, c’est encore sous silence, mais avec le lancement belge prévu pour le tournant de l’année, attendez-vous à ce qu’elle surpasse les concurrents habituels tout en offrant plus de punch. La K4 ne se contente pas de remplacer la Ceed ; elle est là pour redresser les ventes moyennes de Kia dans cette catégorie impitoyable en étant plus grande, plus audacieuse et brutalement honnête sur ce que devrait être une compacte : fun, fonctionnelle et résolument vivante.

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