Le monde de l’automobile est un champ de bataille, et Mercedes vient de tirer un boulet de canon en direction de Munich. Voici la nouvelle Mercedes GLC électrique, un SUV qui ne se contente pas de voler la vedette, mais qui relègue l’iX3 de BMW dans l’ombre. Ce n’est pas une simple évolution, c’est une déclaration audacieuse de luxe, de technologie et de puissance électrique. Plongeons dans ce qui rend cette bête si spéciale, avec une bonne dose de panache et une pointe de scepticisme face à l’engouement actuel pour les véhicules électriques.
D’abord, l’apparence, parce qu soyons honnêtes : dans l’univers des SUV premium, tout tourne autour de l’impression qu’on laisse. La GLC arbore un faciès à la fois classique et futuriste. La calandre est un mastodonte imposant, un clin d’œil aux anciens modèles Mercedes, mais avec une touche moderne. Entourée de série d’une bande LED, et pour ceux qui veulent vraiment frimer, on peut y ajouter en option 942 pixels lumineux. Ce n’est plus une calandre, c’est une boule à facettes ! À l’arrière, une barre lumineuse continue affiche non pas une, mais quatre étoiles Mercedes. Parce que pourquoi faire dans la subtilité quand on peut crier : « Je suis riche ! » ? L’empattement est 8 cm plus long que celui de son frère gourmand en carburant, ce qui lui donne une allure plus sportive et élancée. Des jantes allant jusqu’à 21 pouces ? C’est là. Des options aérodynamiques ? Aussi. Cette chose semble prête à conquérir le marché du leasing.
À l’intérieur, la fête continue. Le tableau de bord est dominé par un Hyperscreen de pas moins de 99,3 cm. Ce n’est pas un écran, c’est un cinéma ! C’est le plus grand écran jamais intégré dans une Mercedes, et il hurle le luxe. Les matériaux sont de premier ordre, la finition est d’un niveau qu’on ne trouve pas dans une CLA, et les petits détails font la différence. Prenez le toit panoramique : en option, vous pouvez faire scintiller 162 étoiles illuminées indirectement dans 64 couleurs différentes. C’est comme conduire sous un ciel étoilé. Mais ne nous laissons pas trop emporter – tous ces gadgets rendent l’intérieur un peu exagéré. On dirait que Mercedes s’est dit : « Si on remplit le tableau de bord d’écrans et de lumières, ils oublieront qu’ils ont vendu un rein pour payer ça. »
Sous le capot, la GLC est une prouesse technologique. Elle partage sa base avec la nouvelle CLA, mais avec une dose supplémentaire de muscles électriques. Mercedes reste discret sur les spécifications exactes, mais vu la concurrence avec la BMW iX3 – qui se vante d’une autonomie de 800 km et d’une capacité de charge rapide de 400 kW – on peut parier que la GLC ne sera pas en reste. Probablement équipée d’une batterie capable d’alimenter une petite ville et d’un moteur électrique qui vous plaque au siège sans gaspiller une goutte d’essence. Mais soyons réalistes : toute cette autonomie, c’est bien joli, jusqu’à ce qu’on réalise qu’en Belgique, il faut se battre pour trouver une borne de recharge libre. Et on ne parle même pas du prix. Mercedes vise clairement les clients en leasing, alors attendez-vous à une étiquette de prix qui donnera des palpitations à votre portefeuille.
Pourtant, il y a quelque chose d’irrésistible dans cette GLC. Elle combine la grandeur d’une Mercedes classique avec l’ambiance high-tech d’un véhicule électrique moderne. C’est une voiture qui dit : « Je suis le patron, mais je suis aussi écolo. » Que vous y croyiez ou non, c’est une autre histoire. Dans un monde où chaque constructeur prétend sauver la planète tout en fabriquant des SUV plus lourds qu’un éléphant, ça reste un peu paradoxal. Mais bon, si vous voulez contribuer à un avenir plus vert avec style, cette bête est un excellent choix.
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