La nouvelle Volkswagen T-Roc : un vieux briscard dans un costume branché

La nouvelle Volkswagen T-Roc : un vieux briscard dans un costume branché

31 août 2025

Soyons honnêtes : la Volkswagen T-Roc, c’est un peu comme cet ami qui reste populaire, peu importe son âge. Depuis 2017, ce SUV compact sillonne les rues européennes, et avec plus de deux millions d’exemplaires vendus, c’est une véritable coqueluche. Mais une voiture de huit ans, ça commence à ressembler à une rockstar d’antan qui s’obstine à porter des jeans slim. Il était grand temps de lui offrir un sérieux coup de jeune, et Volkswagen n’a pas déçu. La nouvelle T-Roc est là, et elle est si fraîche qu’on dirait qu’elle sort tout droit d’une boîte de nuit berlinoise branchée.

Côté design, la T-Roc reste fidèle à ses racines, mais avec une touche moderne qui vous fait hausser les sourcils d’approbation. L’avant a subi un relooking qui rappelle le grand frère Tiguan, avec des phares effilés reliés par une bande lumineuse traversant la calandre. On dirait que la T-Roc s’est mise à la muscu et affiche désormais une mâchoire plus affûtée. En option, vous pouvez opter pour les phares IQ.Light LED Matrix, qui sonnent comme un gadget que la NASA utiliserait pour communiquer avec des extraterrestres. À l’arrière, le spectacle est complet avec une large barre lumineuse et un logo VW illuminé, parce qu’apparemment, en 2025, les voitures ressemblent à des sapins de Noël roulants. La lunette arrière est désormais plus inclinée, ce qui donne à la T-Roc un petit air de coupé, et avec une longueur de 4,37 mètres, elle a pris 12 centimètres – comme si elle avait fait une poussée de croissance après un régime de shakes protéinés.

À l’intérieur, l’habitacle fait un bond en avant. Le tableau de bord s’inspire des modèles électriques ID et du Tiguan, avec un look épuré et sobre qui met enfin un terme à la sensation un peu cheap de la première génération. Un écran d’instrumentation numérique de 10 pouces et un écran d’infodivertissement de 13 pouces dominent le cockpit, même si ces satanés sliders pour régler la température restent une offense à l’ergonomie. Heureusement, les boutons physiques sont de retour sur le volant, parce que personne n’a envie de bidouiller un écran tactile en conduisant comme s’il pilotait une navette spatiale. La console centrale arbore une grosse molette en verre pour le volume et l’éclairage d’ambiance, une petite victoire pour tous ceux qui aiment les commandes tangibles. Et parlons d’espace : le coffre avale désormais 475 litres, soit 30 litres de plus qu’avant, et l’empattement légèrement allongé offre plus de place pour les jambes. Pratique pour les amis grands ou les courses volumineuses.

Sous le capot, c’est du classique, mais avec une touche moderne. Une T-Roc 100 % électrique ? Pas pour tout de suite, Volkswagen s’en tient aux moteurs thermiques et hybrides. La base est un moteur 1,5 litre mild-hybrid de 116 ch, couplé à une boîte DSG à sept rapports. Pour ceux qui veulent un peu plus de punch, il y a une version de 150 ch avec le même générateur de démarrage 48V. Des hybrides auto-rechargeables et un 2.0 TSI 4Motion sont aussi au programme, bien que les puissances exactes restent encore un mystère. Et oui, une T-Roc R est en route, parce que Volkswagen sait qu’il y a toujours des amateurs de sensations fortes qui veulent un SUV compact qui grogne comme une machine à espresso en colère. Les diesels ? Relégués aux oubliettes de l’histoire, tout comme la version cabriolet. Apparemment, personne n’a envie de rouler cheveux au vent sous une averse.

La plateforme MQB Evo permet à la T-Roc de regorger d’aides à la conduite, comme le Park Assist Pro, qui vous permet de garer la voiture via votre smartphone. C’est le summum de la paresse : laisser votre voiture se garer pendant que vous swipez sur le trottoir. La dynamique de conduite promet d’être typiquement Volkswagen : fiable, prévisible, mais pas vraiment palpitante. Ce n’est pas une voiture de sport, mais un engin qui vous emmène du point A au point B sans drame – sauf si vous touchez malencontreusement ces sliders.

La T-Roc reste un coup de maître de Volkswagen. Ni trop grande, ni trop petite, elle a juste assez de panache pour se démarquer sans en faire des tonnes. C’est une voiture pour ceux qui veulent un SUV qui ne ressemble pas à un tank, mais qui en impose suffisamment pour briller sur le parking du supermarché. Les ventes débutent cette année, et bien que les prix belges ne soient pas encore connus, on peut parier que Volkswagen ne jouera pas la carte du low-cost.

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