Firefly de Nio : un choc mignon pour les routes belges

Firefly de Nio : un choc mignon pour les routes belges

30 août 2025

Il y a quelque chose qui bourdonne en Belgique, et ce n’est pas une guêpe venue gâcher votre pique-nique. Non, c’est la Nio Firefly, une petite voiture électrique qui semble tout droit sortie d’un film Pixar, prête à conquérir les routes belges avec un sourire effronté et une prise. Ce n’est pas une énième EV ennuyeuse que votre grand-mère achèterait pour aller au bingo. C’est une voiture avec du caractère, une touche d’excentricité et un prix qui vous fait hausser les sourcils – dans le bon sens.

Commençons par le look, car c’est là que la Firefly vous attrape immédiatement. Avec ses trois phares ronds de chaque côté – oui, trois, parce que pourquoi se contenter de deux ? – elle ressemble à un robot adorable qu’on a envie de câliner, mais avec 143 ch sous le capot. Ou plutôt, sous le plancher, parce que c’est une électrique, et celles-ci n’ont pas de capot au sens classique. Son design, conçu à Munich, a une vibe rétro ludique qui rappelle la Honda e, mais avec une bonne dose de panache chinois. La ligne du montant C qui s’étend sur le toit lui donne un look unique, même vu du ciel, comme si elle faisait un clin d’œil aux drones qui passent. Et ces phares ? Trois cercles à l’avant et à l’arrière, parce que, comme le dit Nio, « toutes les bonnes choses vont par trois ». Qui suis-je pour contester ça ?

À l’intérieur, l’habitacle est étonnamment spacieux pour une voiture qui fait à peine quatre mètres de long. Vous pouvez y caser sans problème quelques grands Belges à l’arrière sans qu’ils se plaignent de manquer de place pour leurs genoux. La finition est également impressionnante : des tissus doux qui donnent envie de les caresser, presque pas de plastiques durs, et un écran tactile de 13,2 pouces qui semble tout droit sorti d’un vaisseau spatial. Quatorze haut-parleurs offrent un système audio qui vous fait oublier que vous êtes dans une citadine, et l’éclairage d’ambiance avec 256 combinaisons de couleurs transforme l’intérieur en boule à facettes sur roues. Oh, et n’oublions pas le frunk – 92 litres de rangement à l’avant, avec évacuation d’eau, s’il vous plaît, pour vos sacs de courses trempés. Le coffre arrière peut avaler jusqu’à 404 litres, et si vous rabattez la banquette, vous obtenez 1 253 litres. De quoi partir en week-end dans les Ardennes ou faire un détour impulsif chez Ikea.

Sous la carrosserie, la Firefly ne plaisante pas. Avec 143 ch et 200 Nm, elle atteint les 100 km/h en 8,1 secondes, plus vite que beaucoup de concurrentes du segment B. La propulsion arrière lui donne un petit côté joueur, et avec une vitesse maximale de 150 km/h, vous pouvez satisfaire votre démon de la vitesse intérieur. La batterie de 41,2 kWh offre une autonomie de 330 kilomètres, largement suffisante pour la ville. La consommation ? Un respectable 14,5 kWh aux 100 km, et si vous faites vraiment attention en ville, vous pouvez faire encore mieux. La recharge rapide atteint 100 kW, ce qui signifie que vous êtes de retour sur la route en une demi-heure, et pour ceux qui veulent dépenser un peu plus, il y a un chargeur triphasé de 11 kW. La fonction Vehicle-to-Load est de série, donc vous pouvez brancher vos lampes de camping ou un barbecue électrique. Pratique, non ?

Mais parlons de l’éléphant dans la pièce : le prix. À 29 900 €, la Firefly n’est pas une affaire comparée aux modèles d’entrée de gamme comme la BYD Dolphin ou la Renault 5 E-Tech. Mais, et c’est un grand mais, vous en avez pour votre argent : plus de puissance, un meilleur équipement et une garantie de cinq ans. Et soyons honnêtes, elle a juste l’air plus cool. Hedin Automotive, le géant suédois qui importe cette perle chinoise en Belgique, a déjà des showrooms à Anvers, Bruxelles et Maldegem, avec Gand et le Luxembourg qui suivront début 2026. Et puis, il y a l’atout maître de Nio : les stations Power Swap. Il y en a déjà une à Edegem, où vous pouvez échanger votre batterie vide contre une pleine en quelques minutes. Pas de câbles, pas d’attente à une borne. C’est l’avenir, mes amis, et c’est sacrément pratique.

La Firefly n’est pas juste une voiture ; c’est une déclaration. C’est la manière de Nio de dire : « Nous pouvons faire du compact, de l’abordable et du premium, et nous le faisons avec le sourire. » Elle se mesure aux grands du segment B, mais avec son look unique, sa technologie intelligente comme l’assistant IA NOMI et un intérieur qui ressemble à un salon cosy, elle a une longueur d’avance. C’est une voiture pour ceux qui aiment un peu d’excentricité, qui veulent se démarquer sans crier, et pour qui conduire électrique doit être amusant plutôt qu’une obligation ennuyeuse.

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