Parlons d’un truc tellement brillant qu’on dirait presque un crime qu’il ait mis si longtemps à voir le jour. La Smart Fortwo, ce petit bolide qui dominait autrefois les rues de Paris et de Rome avec son charme de « je-me-gare-sur-un-mouchoir », est de retour. Mais pas sous forme d’une vieille rengaine poussiéreuse. Non, la Smart #2 est une biplace 100 % électrique qui promet de reconquérir la ville, et je suis là pour vous expliquer pourquoi cette petite bête mérite toute votre attention.
La Fortwo originale était une idée géniale. Avec ses 2,5 mètres de long, c’était le Robin des Bois des voitures urbaines : petite, audacieuse et toujours prête à piquer une place de parking là où une SUV n’oserait même pas rêver. C’était une voiture qui riait au nez des embouteillages et des garages étriqués. Soyons honnêtes, les versions plus récentes avaient leurs défauts. Des moteurs qui s’usaient plus vite qu’un imperméable bon marché et une autonomie qui vous menait à peine de la boulangerie à la boucherie. Pourtant, malgré ses imperfections, cette petite Smart avait un statut de culte. C’était la voiture que vous achetiez pour faire une déclaration : pas besoin d’espace, j’ai du caractère.
Fin 2026, Smart redonne vie au concept avec la #2. Ce n’est pas une vulgaire opération nostalgique pour faire du fric, mais une réinterprétation moderne d’un classique. La #2 sera une biplace ultra-compacte et entièrement électrique, conçue par l’équipe de Mercedes-Benz et fabriquée en Chine par Geely, les mêmes qui produisent des Volvo et des Polestar. C’est une collaboration qui ressemble à un mariage entre un ingénieur allemand et un gourou de la tech, et j’ai hâte de voir quel genre d’enfant ils ont créé.
Que sait-on pour l’instant ? Pas grand-chose, mais assez pour attiser votre curiosité. La #2 sera une voiture du segment A, ce qui signifie qu’elle est plus petite que tout ce que Smart a sorti ces dernières années. Les #1, #3 et #5 ne sont plus des petites citadines, mais plutôt des crossovers gonflés à bloc qui semblent avoir fréquenté la salle de sport. La #2 revient aux racines : une voiture que vous pouvez garer en travers sur une place de parking tout en laissant de la place pour un vélo. Elle sera équipée d’une motorisation électrique, ce qui est logique, parce que qui fabrique encore des moteurs à essence pour une citadine ? L’autonomie reste un mystère, mais les rumeurs parlent d’une batterie d’environ 49 kWh, offrant entre 350 et 400 kilomètres. Pas mal pour une voiture probablement plus légère qu’un vélo électrique moyen.
Pourquoi est-ce une grosse nouvelle ? Parce que le monde hurle pour des voitures électriques abordables et compactes. Le marché des petites EV est aussi vide qu’un parking un dimanche matin. Avec la #2, Smart vise des villes comme Rome, Paris et Amsterdam, où se garer est un sport extrême et l’espace plus précieux qu’un bon verre de whisky. Le patron de Smart, Dirk Adelmann, l’a lui-même qualifiée de « jalon pour la mobilité urbaine ». Et franchement, si vous avez déjà essayé de garer votre voiture dans une ruelle parisienne, vous comprenez pourquoi c’est un événement.
Le design ? C’est encore top secret, mais les teasers montrent une silhouette qui rappelle étrangement l’ancienne Fortwo. Ne vous attendez pas à une boîte ennuyeuse sur roues. Mercedes-Benz sait comment rendre une voiture premium, et avec la technologie de Geely à bord, ça pourrait bien être une citadine avec du cran. Peut-être pas une version Brabus avec 650 chevaux – même si ça serait hilarant – mais quelque chose de stylé et agréable à conduire. Et espérons qu’ils ont définitivement enterré cette boîte semi-automatique agaçante d’antan.
Évidemment, il y a des questions. Combien coûtera-t-elle ? Si Smart est malin – jeu de mots, désolé – ils garderont le prix sous les 20 000 € pour rivaliser avec les EV les moins chères. Et l’autonomie ? 100 kilomètres, ça suffisait peut-être pour une citadine autrefois, mais en 2026, on veut plus. Les Pays-Bas, après tout, c’est une grande ville, et personne n’a envie de brancher sa voiture toutes les cinq minutes. Mais si Smart fait les choses bien, et j’ai secrètement confiance en eux, la #2 ne sera pas seulement un choix pratique, mais une voiture que vous achetez parce qu’elle est sacrément cool.
Alors, cochez fin 2026 dans votre agenda. La Smart #2 promet tout ce que la marque représentait autrefois : compacité, agilité et une touche de rébellion. C’est la voiture que vous achetez si vous voulez faire un pied de nez aux SUV et aux amendes de stationnement. Et qui sait, peut-être la verrons-nous même en version Brabus jaune pétard, juste pour rendre les voisins jaloux.
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