Deux camionnettes électriques : Stellantis et Iveco s’associent pour conquérir l’avenir

Deux camionnettes électriques : Stellantis et Iveco s’associent pour conquérir l’avenir

17 mars 2025

 

Imaginez un monde où les camionnettes ne grognent plus comme des bouledogues en colère, mais glissent dans les rues en fredonnant, propulsées par rien d’autre que la magie de l’électricité. Ça ressemble à de la science-fiction ? Eh bien, accrochez-vous, parce que Stellantis Pro One et Iveco viennent d’annoncer qu’ils unissent leurs forces pour faire exactement ça : construire deux camionnettes entièrement électriques qui, dès 2026, vont électrifier les routes. Si ça, ce n’est pas la preuve que le futur fonce sur nous plus vite qu’une mouette affamée sur vos frites, je ne sais plus quoi dire.

Commençons par présenter les protagonistes. D’un côté, il y a Stellantis Pro One, la branche utilitaires de l’immense Stellantis – un nom qui évoque un vaisseau spatial intergalactique, mais qui n’est en réalité qu’une fusion de marques comme Peugeot, Citroën et Fiat. Ces gars savent construire une camionnette capable de transporter aussi bien une cargaison de briques que votre boîte à lunch sans broncher. De l’autre côté, on trouve Iveco, le champion italien de tout ce qui est gros, costaud et digne d’un camion. Ensemble, ils s’apprêtent à faire quelque chose qu’on ne voit pas tous les jours : des camionnettes électriques qui sont non seulement vertes, mais aussi pratiques pour le livreur moyen qui n’a pas envie de tomber en panne de jus au milieu de sa tournée.

Le deal est simple, mais génial. Stellantis fournit les plateformes – imaginez la base sur laquelle ces monstres électriques seront bâtis – pour des camionnettes moyennes et grandes, pesant entre 2,8 et 4,25 tonnes. Iveco y colle ensuite son badge, leur donne un coup de peinture et les prépare à envahir le marché européen. Le résultat ? Deux nouveaux modèles qui viendront étoffer la gamme électrique d’Iveco, aux côtés de leur eDaily déjà existant – une camionnette qui roule déjà en Italie et qui est devenue une sorte de héros culte parmi les chauffeurs branchés sur l’électrique. Le calendrier ? Mi-2026, ces nouveaux bébés feront leur apparition, soutenus par un contrat d’approvisionnement de dix ans qui ressemble à un mariage que même votre belle-mère approuverait.

Mais pourquoi ce partenariat, me direz-vous ? Ce n’est pas comme si Iveco avait soudain oublié comment fabriquer une camionnette décente. Non, ici, il s’agit d’expertise et d’échelle. Stellantis Pro One s’est hissé au rang de grand maître dans l’univers des camionnettes à batterie. Ils ont la technologie, la capacité de production et – soyons honnêtes – la volonté de sauver la planète des gaz d’échappement de tous ces diesels asthmatiques. Iveco, avec son savoir-faire dans les gros engins, a vu là une occasion d’élargir sa gamme vers le bas tout en frappant un grand coup écologique. C’est un peu comme si un bodybuilder et un marathonien décidaient d’ouvrir une salle de sport ensemble : tout le monde y gagne.

Parlons maintenant de ces camionnettes. Avec un poids de 2,8 à 3,1 tonnes pour l’une et de 3,5 à 4,25 tonnes pour l’autre, ce ne sont pas des petits jouets pour flâner en ville. Ce sont de vrais bourreaux de travail, conçus pour transporter aussi bien des outils que des palettes entières de papier toilette sans que vous ayez à chercher une prise en panique à mi-parcours. Elles viennent combler l’espace sous l’eDaily, ce qui signifie qu’Iveco aura bientôt une camionnette électrique pour presque toutes les missions. Et tout ça en réduisant les émissions de CO2 – une noble cause qui devrait réchauffer le cœur même des fans les plus endurcis de l’essence. Ou du moins, ça devrait.

Évidemment, ce n’est pas tout rose et chants d’oiseaux. Passer à l’électrique, c’est un peu comme troquer un régime à base de steaks contre du quinoa vegan – ça demande un peu d’adaptation. Mais avec les plateformes éprouvées de Stellantis et l’approche pragmatique d’Iveco, cette combinaison semble en or. Les Italiens accèdent à une technologie de pointe, et Stellantis peut pavaner avec ses références écolos tout en grignotant des parts de marché. C’est un gagnant-gagnant si évident qu’on se demande pourquoi personne n’y a pensé plus tôt.

Alors, qu’est-ce que ça signifie pour vous, le gars ou la fille qui se retrouvera bientôt au volant d’un de ces Iveco électrifiés ? Probablement une conduite plus silencieuse, une conscience plus légère et – si tout se passe bien – une camionnette qui n’a pas besoin d’être branchée toutes les cinq minutes. Mi-2026, c’est encore loin, mais si cette collaboration porte ses fruits, on pourrait tous bientôt rouler dans un monde où les camionnettes ne rugissent plus, mais murmurent. Et ça, cher lecteur, c’est un futur auquel je pourrais bien m’habituer. Reste juste à trouver un nom pour ces engins – pourquoi pas l’« Iveco Zapmaster » ? Ça sonne quand même plus sexy que « Modèle X-3000 » ou je ne sais quoi.