Soyons francs : rien ne rend une traversée des routes flamandes aussi palpitante que de savoir qu’une horloge invisible est en train de tourner quelque part. Les contrôles de section, ces caméras malignes qui mesurent votre vitesse sur tout un tronçon plutôt qu’à un seul point fixe, étaient censés être une bénédiction pour la sécurité routière. Mais ces dernières semaines, ça explose : un juge de police à Vilvorde a tout simplement jeté une amende de 53 euros à la poubelle. Motif ? L’ensemble ne respectait pas les exigences légales : trop peu de panneaux d’avertissement et un tronçon qui ressemblait plus à un guet-apens qu’à une mesure honnête. C’est comme recevoir une prune parce qu’on respire trop fort dans un pantalon trop serré.
Et ce n’est pas un cas isolé. En deux ans, le nombre de contrôles de section en Flandre a été multiplié par cinq : de 246 modestes exemplaires à 1 233 cette année. Impressionnant, jusqu’à ce qu’on apprenne qu’une bonne partie a été sous-traitée à une seule entreprise dominante qui séduit les communes avec la promesse de rentrées d’argent faciles. Une soixantaine de villes et communes ont lâché la bride, et soudain il pleut des amendes qui tiennent plus du loto que de la répression équitable. Les experts pointent du doigt des installations bâclées : caméras trop éloignées, tronçons qui serpentent entre virages et feux rouges. Résultat ? Un piège pour tout conducteur qui ose boire un café ou taquiner son passager. « C’est chercher les ennuis », disent les spécialistes, et ils ont raison : on dirait une blague administrative sur quatre roues.
La ministre de la Mobilité, Lydia Peeters, se retrouve les cheveux en bataille. Elle craint une vague de jugements similaires et promet de durcir la législation, de tailler dans les excès et de réécrire là où ça coince. D’accord, mais en attendant, c’est le citoyen lambda qui empile les amendes juste pour essayer de rentrer à l’heure sans hypothéquer son salaire. En Wallonie, pour comparaison, on n’en compte que 97. Preuve qu’on n’a pas besoin de tout surveiller pour garder la route en ordre. En Flandre, on dirait qu’on est devenu accro à l’espionnage numérique pendant que les vrais dangers – routes glissantes l’hiver ou camions maladroits – passent entre les gouttes.
Mais reculons d’un cran : tout ce bazar autour des tronçons nous rappelle pourquoi la mobilité intelligente est l’avenir. Imaginez ne plus devoir surveiller chaque seconde votre compteur, mais rouler dans une voiture qui se régule toute seule. Les véhicules électriques, avec leur régulateur de vitesse fluide et leurs systèmes d’assistance ultra-précis, rendent la vie tellement plus simple. Ils glissent sur le bitume au lieu de rugir, et grâce à la navigation intégrée qui respecte les limites, les petits excès involontaires appartiennent au passé. Ce n’est pas de la magie, c’est de l’ingénierie bien faite : plus silencieux, plus propre, et oui, nettement moins stressant. Dans un monde rempli de caméras imprévisibles, c’est l’upgrade que vous méritez vraiment.
Alors la prochaine fois qu’une amende tombe, battez-vous comme un lion – ou mieux encore, changez de monture avant que ça n’arrive. Chez nous, tout est prêt pour passer au 100 % électrique sans prise de tête. Plongez dans notre marketplace où vous pouvez chercher et acheter votre voiture électrique : https://volty.be/nl/buy/cars/overview/. Pied au plancher, soucis au placard.