Soyons honnêtes, conduire est devenu un cauchemar. Vous êtes coincé là-dedans, agrippé à un volant qui se comporte comme un âne têtu, pendant que le reste du monde klaxonne autour de vous comme une bande d’oies enragées. Les panneaux de signalisation ? Ils sont juste là pour vous rappeler toutes les façons dont vous pouvez échouer. Et puis, il y a ces idiots en SUV qui pensent posséder la route, ou ces cyclistes qui surgissent de nulle part comme des fantômes dans un film d’horreur bon marché. Je vous le dis : si les voitures pouvaient parler, elles auraient déjà formé un syndicat et nous auraient tous virés. Heureusement, Nissan a décidé qu’il était temps de nous sortir de cette misère. En 2027, leur dernier système Propilot arrivera, une sorte de cerveau robotisé sur roues qui promet de prendre le volant et de nous montrer comment on fait vraiment.
Imaginez – non, mieux encore, réjouissez-vous – une voiture qui non seulement conduit, mais le fait intelligemment. Ce n’est pas un petit gadget d’assistance qui vous tient la main pendant que vous faites défiler votre téléphone en douce. Non, c’est la nouvelle génération de Propilot, lancée en 2018 comme un premier pas timide vers la liberté, mais maintenant boostée pour devenir une véritable bête autonome. Ils y ont mis onze caméras, cinq radars et un LiDAR sur le toit qui scanne le monde comme un hibou paranoïaque dans la nuit. Et le meilleur ? Un système d’IA conçu par une startup brillante appelée Wayve, entraînée pour comprendre le chaos de la circulation sans craquer au premier embouteillage.
Tout commence au Japon, où Nissan lâchera une poignée de modèles de production dans les rues de Tokyo. Ces Japonais, avec leur obsession pour la ponctualité, méritent ça : une voiture qui arrive à l’heure, mais qui anticipe la route avant même que la route ne sache qu’elle existe. Et l’Europe ? On l’aura peu après, à moins que Nissan ne fasse faillite à cause des prix de l’essence ou d’un rappel stupide. Aucun modèle précis n’a encore été annoncé – typique de Nissan, toujours une surprise dans la manche – mais attendez-vous à quelque chose de nouveau et rutilant, probablement avec assez de batterie pour alimenter un petit village.
Qu’est-ce qui rend ce truc si sacrément excitant ? D’abord, ce n’est plus de la théorie. C’est du matériel qui fonctionne, une IA qui apprend du vrai chaos plutôt que de pistes d’essai stériles. Imaginez-vous en train de vous détendre avec un café – ou quelque chose de plus fort, je ne juge pas – pendant que la voiture slalome dans un rond-point rempli d’idiots qui pensent que les clignotants sont facultatifs. La sécurité ? Ces onze caméras en voient plus que votre belle-mère lors d’une soirée ragots, et les radars prédisent les accidents avant qu’ils ne se produisent. C’est comme avoir un chauffeur qui ne se fatigue jamais, n’est jamais distrait par un podcast sur les théories du complot, et ne râle pas à propos des réglages de la clim.
Mais ne nous emballons pas trop. J’ai vu assez de voitures promettre monts et merveilles pour finir en épave rouillée dans un fossé. Le premier Propilot de Nissan était sympa – il vous gardait dans votre voie et freinait pour des ombres au loin – mais ça ? C’est comme passer d’un tricycle à un avion de chasse. C’est la façon de Nissan de dire : « On déteste les embouteillages autant que vous, alors tenez, reprenez les clés et faites une sieste. » Et franchement, dans un monde où se garer est déjà un sport olympique, c’est la médaille d’or qu’on mérite tous.
En résumé, si 2027 ne vous semble pas trop loin, gardez les yeux ouverts pour la révolution autonome de Nissan. Ce ne sera pas parfait – quoi l’est ? – mais ça promet de transformer la conduite d’une corvée en privilège. Et qui sait, peut-être que j’apprendrai même à être plus patient avec le reste du trafic. Ou pas. Probablement pas.
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