Accord commercial avec l’Amérique : salut ou désastre pour les chevaux-vapeur européens

Accord commercial avec l’Amérique : salut ou désastre pour les chevaux-vapeur européens

04 August 2025

Et voilà, encore une fois, la danse éternelle entre l’Europe et l’Amérique, où les voitures jouent les stars dans une pièce théâtrale pleine de menaces, de négociations et, au final, d’un compromis qui ne fait vraiment plaisir à personne. On parle de cet accord commercial tout juste sorti du four, signé par une chaude journée de juillet 2025, où l’Union européenne et les États-Unis se sont serré la main sur des droits de douane pour les voitures. Oui, vous avez bien lu : 15 % de taxes sur chaque bolide européen qui traverse l’Atlantique. Moins que les 30 % qui planaient comme une épée de Damoclès au-dessus de nos têtes, mais ça reste une sacrée morsure dans les profits de nos chers constructeurs automobiles.

Remontons un peu le temps pour comprendre comment tout cela a commencé. Ce président américain, avec son panache habituel, a menacé pendant des mois d’imposer des tarifs exorbitants, soi-disant pour protéger son industrie. Date butoir après date butoir, on arrive au 1er août comme ultimatum final. Et puis, pouf, un accord. Les voitures européennes se prennent 15 % de droits de douane à l’entrée aux États-Unis. Pour les novices : ça veut dire qu’une BMW ou une Mercedes rutilante, expédiée d’Allemagne ou de Belgique, devient soudainement bien plus chère pour l’acheteur yankee. Mais bon, ça aurait pu être pire. Bloomberg a calculé que cet accord épargne aux constructeurs européens jusqu’à 4 milliards d’euros de pertes par rapport à une catastrophe à 30 %, même si ça leur coûte encore des milliards par an.

Alors, qui trinque le plus ? Les géants allemands, évidemment. Prenez Audi, BMW, Mercedes, Porsche et Volkswagen – ces gars-là tirent une grosse part de leurs revenus des États-Unis. Certains produisent déjà là-bas, comme BMW en Caroline du Sud ou Mercedes en Alabama, ce qui leur donne un avantage. Volkswagen s’en réjouit même un peu, tout en disant qu’ils doivent encore éplucher les petits caractères. Mais pour Audi, qui n’a pas une vis en sol américain, c’est une pure douleur. Et Volvo ? Ces Suédois déplacent tranquillement une partie de leur production de XC60 en Amérique, comme s’ils pliaient sous la pression. Malin ou signe de faiblesse ? Moi, je dis : survivre dans un monde où les guerres commerciales sont la norme.

Les avantages ? Eh bien, ce n’est pas une catastrophe totale. Ces 15 % sont un soulagement comparé à l’apocalypse des 30 %, qui auraient rendu les voitures européennes quasi inabordables pour l’Américain moyen. Enfin un point final à cette incertitude épuisante – Mercedes parle même de « soulagement ». Et soyons honnêtes, cet accord apporte une lueur d’espoir pour de futures discussions, peut-être même des barrières plus basses à l’avenir. Les experts européens poussent un soupir collectif : mieux vaut ça que rien.

Mais, oh là là, les inconvénients s’empilent comme les embouteillages sur une autoroute allemande. Ces 15 % font quand même mal, surtout avec un dollar plus faible qui complique encore la vie des exportateurs. Et puis, peut-on vraiment faire confiance ? Ces promesses américaines ont parfois la durée de vie d’un milkshake au soleil. Les analystes préviennent que cet accord est fragile, et que les constructeurs vont quand même perdre des milliards. Pour les voitures électriques, ces héros 100 % verts de l’avenir, c’est le même tarif – pas de traitement de faveur, ce qui est une occasion manquée à l’heure de la frénésie climatique. L’industrie européenne, déjà aux prises avec des ventes en baisse et des règles CO2 plus strictes, prend une claque supplémentaire. La production devrait chuter de 2,6 % cette année, et cet accord n’arrange rien.

En résumé, est-ce une bénédiction ou une malédiction ? C’est comme une vieille Jaguar : séduisante sur le papier, mais avec des coûts cachés qui vident votre portefeuille. L’Europe célèbre le fait d’avoir évité le pire, mais au fond, tout le monde sait que les vrais gagnants sont les avocats et les négociateurs. L’industrie automobile doit s’adapter, déplacer des usines, ajuster les prix et espérer des jours meilleurs. Car dans le monde des chevaux-vapeur et de la politique, on ne gagne jamais vraiment, on survit, c’est tout.

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Trade deal with America: salvation or disaster for European horsepower

Here we go again, the eternal dance between Europe and America, where cars take center stage in a drama packed with threats, negotiations, and, in the end, a compromise that leaves everyone vaguely dissatisfied. We’re talking about that fresh-out-the-oven trade deal, inked on a sweltering July day in 2025, where the European Union and the United States shook hands over import tariffs on cars. Yup, you read that right: a 15 percent tax on every European beast crossing the Atlantic. Less than the 30 percent guillotine that loomed over us, but still a hefty bite out of our beloved carmakers’ profits.

Let’s rewind a bit to see how this mess kicked off. That American president, with his trademark swagger, spent months threatening sky-high tariffs, supposedly to protect his home turf. Deadline after deadline came and went, with August 1 as the final ultimatum. And then, bam, a deal. European cars get slapped with a 15 percent duty when entering the US. For the uninitiated: that means a shiny BMW or Mercedes shipped from Germany or Belgium suddenly costs a lot more for the average yankee buyer. But, let’s be real, it could’ve been worse. Bloomberg crunched the numbers and figures this deal saves European manufacturers up to 4 billion euros in profits compared to a 30 percent disaster, though it’ll still cost them billions annually.

So, who’s feeling the heat most? The German giants, naturally. Take Audi, BMW, Mercedes, Porsche, and Volkswagen – these folks pull a massive chunk of their revenue from the States. Some already build cars over there, like BMW in South Carolina or Mercedes in Alabama, giving them a leg up. Volkswagen’s even doing a little happy dance, though they say they’re still combing through the fine print. But for Audi, which doesn’t have a single bolt in the US, this is pure pain. And Volvo? Those Swedes are calmly shifting some XC60 production to America, like they’re bowing to the pressure. Smart move or a sign of weakness? I say: surviving in a world where trade wars are the norm.

The upsides? Well, it’s not a total catastrophe. That 15 percent is a relief compared to the 30 percent apocalypse that would’ve made European cars nearly unaffordable for Joe Sixpack. Finally, an end to that soul-crushing uncertainty – Mercedes even calls it a “relief.” And let’s be honest, the deal sparks a glimmer of hope for more talks, maybe even lower barriers down the road. European experts are collectively exhaling: better this than nothing.

But, oh boy, the downsides pile up like traffic jams on a German autobahn. That 15 percent still stings, especially with a weaker dollar hitting exporters where it hurts. And can you really trust it? Those American promises sometimes have the shelf life of a milkshake in the sun. Analysts warn this deal is fragile, and manufacturers are still looking at billions in losses. For electric cars, those 100 percent green heroes of the future, it’s the same tariff – no special treatment, which is a missed opportunity in these climate-crazed times. The European industry, already grappling with slumping sales and stricter CO2 rules, takes another hit. Production’s expected to drop 2.6 percent this year, and this doesn’t exactly help.

In short, is this a blessing or a curse? It’s like an old Jaguar: charming on paper, but with hidden costs that drain your wallet. Europe’s celebrating dodging the worst, but deep down, everyone knows the real winners are the lawyers and negotiators. The car industry has to adapt, shift factories, tweak prices, and hope for better days. Because in the world of horsepower and politics, you don’t really win – you just survive.

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